A l'occasion de son prochain départ en retraite, Jean-Guy Giraud de la Représentation du Parlement européen en France a réuni le cercle des Amis du Traité de Lisbonne (anciennement de la Convention, de la Constitution européenne) pour un tour d'horizon de l'actualité européenne.
25 Etats-membres ont ratifié le Traité de Lisbonne.
4 pays posent encore problème.
La date du 2nd référendum en Irlande est attendu sans doute pour l'automne prochain. Les derniers sondages sont plutôt favorables. Rappelons que l'Irlande est actuellement malmenée dans le contexte de crise monétaire, financière, économique et sociale. De plus, le mouvement Libertas qui avait mené la campagne du NON lors du 1er référendum s'est constitué en parti politique officiel. Il s'est d'ailleurs associé à M. de Villiers, en France, pour les élections européennes.
La République tchèque qui préside actuellement l'Union européenne et connaît une crise gouvernementale n'a toujours pas ratifié le traité de Lisbonne. En effet, les députés se sont prononcés, le 18 février dernier. Le vote du Sénat devrait intervenir, le 6 mai prochain. Il se jouera à quelques voix. La ratification officielle et définitive interviendra après le vote irlandais.
En Pologne, le président suspend aussi la signature de la loi de ratification au vote irlandais.
En Allemagne, alors que le vote de ratification a été obtenu depuis longtemps, la Cour constitutionnelle allemande de Karlsruhe doit rendre prochainement, à l'été, un avis sur la constitutionnalité du traité de Lisbonne au regard de la Loi fondamentale.
Rappelons qu'il était initailement prévu que le Traité de Lisbonne rentre en vigueur le 1er janvier 2009. Ce qui ne fut pas le cas. Or, il aurait pu s'appliquer pour le renouvellement du Parlement européen en juin 2009 et aussi la désignation de la nouvelle Commission européenne en novembre prochain, avec des pouvoirs renforcés pour le Parlement européen. Selon le traité de Lisbonne, c'est en fonction des résultats aux élections européennes que le Conseil européen aurait du choisir le candidat soumis à l'approbation du Parlement européen pour être président de la Commission européenne ainsi que pour les commissaires européens.
La nomination du Haut représentant ainsi que le président du Conseil européen sont aussi suspendues à cette ratification.
Bien d'autres avancées attendent de pouvoir s'appliquer.
25 Etats-membres ont ratifié le Traité de Lisbonne.
4 pays posent encore problème.
La date du 2nd référendum en Irlande est attendu sans doute pour l'automne prochain. Les derniers sondages sont plutôt favorables. Rappelons que l'Irlande est actuellement malmenée dans le contexte de crise monétaire, financière, économique et sociale. De plus, le mouvement Libertas qui avait mené la campagne du NON lors du 1er référendum s'est constitué en parti politique officiel. Il s'est d'ailleurs associé à M. de Villiers, en France, pour les élections européennes.
La République tchèque qui préside actuellement l'Union européenne et connaît une crise gouvernementale n'a toujours pas ratifié le traité de Lisbonne. En effet, les députés se sont prononcés, le 18 février dernier. Le vote du Sénat devrait intervenir, le 6 mai prochain. Il se jouera à quelques voix. La ratification officielle et définitive interviendra après le vote irlandais.
En Pologne, le président suspend aussi la signature de la loi de ratification au vote irlandais.
En Allemagne, alors que le vote de ratification a été obtenu depuis longtemps, la Cour constitutionnelle allemande de Karlsruhe doit rendre prochainement, à l'été, un avis sur la constitutionnalité du traité de Lisbonne au regard de la Loi fondamentale.
Rappelons qu'il était initailement prévu que le Traité de Lisbonne rentre en vigueur le 1er janvier 2009. Ce qui ne fut pas le cas. Or, il aurait pu s'appliquer pour le renouvellement du Parlement européen en juin 2009 et aussi la désignation de la nouvelle Commission européenne en novembre prochain, avec des pouvoirs renforcés pour le Parlement européen. Selon le traité de Lisbonne, c'est en fonction des résultats aux élections européennes que le Conseil européen aurait du choisir le candidat soumis à l'approbation du Parlement européen pour être président de la Commission européenne ainsi que pour les commissaires européens.
La nomination du Haut représentant ainsi que le président du Conseil européen sont aussi suspendues à cette ratification.
Bien d'autres avancées attendent de pouvoir s'appliquer.