La Confédration européenne des syndicats (CES/ETUC) a remis, hier, son mémorandum à la présidence suédoise de l'Union européenne. La CES appelle la présidence à relever les défis importants auxquels l'Union européenne est confrontée :
- la crise économique,
- le changement climatique
- le traité de Lisbonne.
Ainsi, la CES déplore que la dimension sociale de l'Europe ne figure plus parmi les priorités de la présidence suédoise "à un moment où le chômage augmente, nous pensons que l'Union européenne devrait envoyer un signal clair indiquant qu'elle comprend les préoccupations les plus urgentes des travailleurs européens et est disposée à agir", selon le secrétaire général J. Monks.
Pour la CES, le premier et le plus grand défi consistera à guider l'Europe à travers la crise financière, économique et sociale, à préserver les emplois existants, à créer les conditions nécessaires à la création d'emplois plus nombreux et de meilleur qualité et à proposer la régulation des marchés financier.
Le 2ème défi consiste à assurer l'issue heureuse du référendum irlandais et une transition sans heurts vers le traité de Lisbonne. Quand celui-ci entrera en vigueur, les institutions européennes devront accorder la priorité au "plein emploi" et à la solidarité.
Le 3ème défi est l'agenda du changement climatique dans la perspective de la conférence de Copenhague.
La CES déclare qu'il est urgent d'affirmer la primauté des droits fondamentaux sur les règles du marché unique. Elle espère que la présidence suédoise corrigera les jugements de la Cour européenne de justice qui, selon la CES, ont élevé le principe de la libre circulation au-dessus du respect des conventions collectives et permis le développement des réductions et inégalités de salaires.
La CES propose l'annexion d'un protocole de progrès social au traité de Lisbonne afin d'ffirmer la primauté des droits fondamentaux sur le marché unique et une refonte de la directive européenne sur led étachement des travailleurs.
L'UEAPME avait fait connaître se priorités, BusinessEurope les sienne.
Pour rappel, l'actualité récente, passée quelque peu inaperçue, des partenaires sociaux européens est le renouvellement de l'accord sur le congé parental et aussi son amélioration.
- la crise économique,
- le changement climatique
- le traité de Lisbonne.
Ainsi, la CES déplore que la dimension sociale de l'Europe ne figure plus parmi les priorités de la présidence suédoise "à un moment où le chômage augmente, nous pensons que l'Union européenne devrait envoyer un signal clair indiquant qu'elle comprend les préoccupations les plus urgentes des travailleurs européens et est disposée à agir", selon le secrétaire général J. Monks.
Pour la CES, le premier et le plus grand défi consistera à guider l'Europe à travers la crise financière, économique et sociale, à préserver les emplois existants, à créer les conditions nécessaires à la création d'emplois plus nombreux et de meilleur qualité et à proposer la régulation des marchés financier.
Le 2ème défi consiste à assurer l'issue heureuse du référendum irlandais et une transition sans heurts vers le traité de Lisbonne. Quand celui-ci entrera en vigueur, les institutions européennes devront accorder la priorité au "plein emploi" et à la solidarité.
Le 3ème défi est l'agenda du changement climatique dans la perspective de la conférence de Copenhague.
La CES déclare qu'il est urgent d'affirmer la primauté des droits fondamentaux sur les règles du marché unique. Elle espère que la présidence suédoise corrigera les jugements de la Cour européenne de justice qui, selon la CES, ont élevé le principe de la libre circulation au-dessus du respect des conventions collectives et permis le développement des réductions et inégalités de salaires.
La CES propose l'annexion d'un protocole de progrès social au traité de Lisbonne afin d'ffirmer la primauté des droits fondamentaux sur le marché unique et une refonte de la directive européenne sur led étachement des travailleurs.
L'UEAPME avait fait connaître se priorités, BusinessEurope les sienne.
Pour rappel, l'actualité récente, passée quelque peu inaperçue, des partenaires sociaux européens est le renouvellement de l'accord sur le congé parental et aussi son amélioration.
Texte de l'accord revisé: Accord cadre sur le congé parental (112 Kb PDF)
Le congé parental fut le 1er accord cadre européen des partenaires sociaux européens conclu en 1995 et transposé dans une directive européenne éponyme, en 1996.
C'est la 1ère fois que les partenaires sociaux européens ont révisé un accord-cadre préexistant.
Il s'agit aussi du 7ème accord cadre européen.
L'accord révisé améliore plusieurs dispositions de l'accord préexistant telles que :
- la prolongation du congé parental de 3 à 4 mois,
- le renforcement du congé en tant que droit individuel,
- l'accord s'efforce de reconnaître des structures familiales de plus en plus variées et d'encourager un partage équitable des responsabilités familiales entre hommes et femmes.
Cet accord illustre le rôle positif du dialogue social européen dans la recherche de solutions destinées à relever les importants défis auxquels l'Europe est confrontée, y compris en temps de crise. Il tient compte des besoins des employeurs et des travailleurs et est conforme aux objectifs de la stratégie de Lisbonne ou la stratégie pour la croissance et l'emploi. Cet accord se traduira par une meilleure conciliation entre la vie professionnelle, privée et familiale et constitue dès lors une réponse positive au vieillissement démographique car elle devrait contribuer à accroître la participation des Européens au marché de l'emploi.
Cet accord doit encore être transposé sous forme de directive européenne. Le texte sera transposé tel quel dans le texte de la directive sans possibilité de le modifier.
C'est la 1ère fois que les partenaires sociaux européens ont révisé un accord-cadre préexistant.
Il s'agit aussi du 7ème accord cadre européen.
L'accord révisé améliore plusieurs dispositions de l'accord préexistant telles que :
- la prolongation du congé parental de 3 à 4 mois,
- le renforcement du congé en tant que droit individuel,
- l'accord s'efforce de reconnaître des structures familiales de plus en plus variées et d'encourager un partage équitable des responsabilités familiales entre hommes et femmes.
Cet accord illustre le rôle positif du dialogue social européen dans la recherche de solutions destinées à relever les importants défis auxquels l'Europe est confrontée, y compris en temps de crise. Il tient compte des besoins des employeurs et des travailleurs et est conforme aux objectifs de la stratégie de Lisbonne ou la stratégie pour la croissance et l'emploi. Cet accord se traduira par une meilleure conciliation entre la vie professionnelle, privée et familiale et constitue dès lors une réponse positive au vieillissement démographique car elle devrait contribuer à accroître la participation des Européens au marché de l'emploi.
Cet accord doit encore être transposé sous forme de directive européenne. Le texte sera transposé tel quel dans le texte de la directive sans possibilité de le modifier.