D'une présidence l'autre, le style vous l'aurez remarqué change et nous sommes loin de "quand l'Europe veut, l'Europe peut" de la précédente présidente de l'Union européenne. Pour ceux qui l'auraient oublié, la République tchèque assure sa 1ère présidence de l'Union européenne depuis le 1er janvier et jusqu'au 30 juin prochain minuit avant de céder sa place à la Suède. Il faut préciser que la République tchèque traverse une crise politique intérieure avec la destitution du gouvernement Topolanek. Ce qui ne facilite pas l'exercice et le déroulement de ce RDV européen majeur. Nous vous invitons à vous reporter à la rubrique de L'Europe à la Une consacrée à la "Présidence tchèque de l'Union européenne".
Après les élections européennes et dans la perspective des prochaines échéances européennes que ce soit au Parlement européen (1er session de juillet) ou, en terme de nominations notamment du président de la Commission européenne lors du prochain Conseil européen ou encore, à l'automne, avec le prochain référendum en Irlande sur le traité de Lisbonne qui déterminera la ratification définitive par la Pologne et la République tchèque, le Conseil européen des 18 et 19 juin prochain marquera la fin de la présidence tchèque de l'Union européenne et connaîtra un moment majeur autour de la désignation du prochain candidat au poste de la présidence de la Commission européenne.
A l'issue du Conseil européen, JM Barroso a recueilli l'unanimité quant à sa candidature au poste de président de la Commission européenne. Il faut dire qu'il était le seul à briguer le poste. ll lui reste encore l'étape du Parlement européen qui décidera, le 9 juillet prochain, lors de la conférence des présidents de groupes politiques, de l'inscrire à l'ordre du jour de la plénière du 14 au 16 juillet prochain à Strasbourg ou non et, dans ce cas, d'attendre les résultats du référendum en Irlande et les modalités de désignation du traité de Lisbonne qui pourraient s'avérer plus épineuses pour le candidat. S'il est renouvelé, la durée de son mandat pourrait atteindre celui de J. Delors.
L'intéressé s'est d'ailleurs félicité de cette belle unanimité.
Pour en savoir plus :
http://europa.eu/european-council/index_fr.htm
Après les élections européennes et dans la perspective des prochaines échéances européennes que ce soit au Parlement européen (1er session de juillet) ou, en terme de nominations notamment du président de la Commission européenne lors du prochain Conseil européen ou encore, à l'automne, avec le prochain référendum en Irlande sur le traité de Lisbonne qui déterminera la ratification définitive par la Pologne et la République tchèque, le Conseil européen des 18 et 19 juin prochain marquera la fin de la présidence tchèque de l'Union européenne et connaîtra un moment majeur autour de la désignation du prochain candidat au poste de la présidence de la Commission européenne.
A l'issue du Conseil européen, JM Barroso a recueilli l'unanimité quant à sa candidature au poste de président de la Commission européenne. Il faut dire qu'il était le seul à briguer le poste. ll lui reste encore l'étape du Parlement européen qui décidera, le 9 juillet prochain, lors de la conférence des présidents de groupes politiques, de l'inscrire à l'ordre du jour de la plénière du 14 au 16 juillet prochain à Strasbourg ou non et, dans ce cas, d'attendre les résultats du référendum en Irlande et les modalités de désignation du traité de Lisbonne qui pourraient s'avérer plus épineuses pour le candidat. S'il est renouvelé, la durée de son mandat pourrait atteindre celui de J. Delors.
L'intéressé s'est d'ailleurs félicité de cette belle unanimité.
Pour en savoir plus :
http://europa.eu/european-council/index_fr.htm